En parcourant les registres municipaux

Dans les premiers registres d'état-civil archivés à la commune, on relève les noms de famille : DIMEY  DIDIER  LEGROS  LAMBERT  TESTEFORT ou TETE-FORT  MICHELIN  CHANET  CHRESTIENNOT  DELOMPRE.

En 1678 les feuilles du registre avaient pour en-tête un blason surmonté d'une couronne entourée de ces mots : "Généralité de Champagne".

En 1841 les transports sont assurés par Monsieur LESPRIT maître de postes. Les conseillers nouvellement élus prêtent serment : "je jure fidélité au roi de France, obéissance à la chartre constitutionnelle et aux lois du royaume".

En 1849 lors de la terrible épidémie de choléra, on compte 82 décès dans l'année, parmi une population de 500 personnes. Les professions de l'époque reflètent un village actif et diversifié. Les Mandrins sont principalement ciseliers, couteliers, tisserands, manouvriers, laboureurs et charretiers. Le village possède un berger, un maîre de postes, un marchand de cendres, un propriétaire de chevaux de bois, un curé, un maître d'école, des aubergistes et des cafetiers.

En 1850 la commune doit opter pour un instituteur laïc ou religieux.

En 1853 pour venir en aide aux ouvriers, le conseil municipal leur alloue la somme de 200 F en contrepartie de la démolition des murs de l'ancien cimetière entourant l'église.

En 1872 le conseil demande la réintégration de la mare dans son état primitif avec défense d'y faire baigner les animaux.

En 1880 achat d'un corbillard 550 F.

En 1910 raccordement au réseau téléphonique.

En 1912 vote d'une subvention aux Autobus Chaumontais pour le service quotidien.

En 1920 la maison du berger est vendue à la société de Coutellerie de Paris.

En 1923 éclairage électrique des bâtiments communaux et des rues du village.

En 1933 captage de la source de la bellefontaine.

En 1952 le village fête son centenaire : M. Paul Eucher RENARD.

En 1963 accueil du Général de Gaulle chef de l'Etat.

En 1968 nouvelle dénomination des rues. Pollution de l'eau potable par des résidus laitiers.

En 1978 inauguration de la maison des jeunes, abri de car en dur.

En 1979 réfection des rues, canalisation Gaz de France.

En 1981 fête des Mandres de France.

En 1984 transformation du presbytère en bureau de poste.

En 1988 travaux de remembrement. Décès accidentel de Melle LEGROS, Maire de Mandres.